La Banque européenne d’investissement (BEI) souligne que 85 % des entreprises françaises perçoivent l’incertitude économique comme un obstacle à l’investissement. Malgré une résilience et un intérêt soutenu pour l’innovation, les investissements portent surtout sur le remplacement d’équipements plutôt que sur l’expansion des capacités. Les entreprises françaises sont également plus sensibles que la moyenne de l’UE aux chocs sur les chaînes d’approvisionnement et aux changements réglementaires. (La Tribune, 10/12/2025)

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En 2025, 15?% des postes en psychiatrie restent vacants. Pour attirer davantage d’étudiants, le CNUP relance la campagne #ChoisirPsychiatrie et multiplie les actions sur les campus, avec témoignages, événements interactifs et immersions en service. Inspirée du modèle britannique «?Choose Psychiatry?», cette initiative vise à lutter contre les clichés et à montrer la diversité et l’intérêt humain et scientifique de la discipline. (Handicap.fr, 10/12/2025)

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Lors de la Semaine nationale de l’emploi agroalimentaire, l’Apec, l’Apecita et France Travail ont organisé une table ronde pour débattre de l’emploi des seniors. En France, le taux d’emploi des plus de 50 ans reste inférieur à la moyenne européenne, et les stéréotypes persistent. Les participants ont souligné la polyvalence, la stabilité et l’adaptabilité des seniors, et identifié des leviers concrets : adaptation des postes, aménagement du temps de travail et bilan de compétences. L’événement a insisté sur la nécessité d’un changement de regard collectif et d’un soutien public renforcé pour favoriser l’emploi des seniors. (Apecita, 10/12/2025)

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La formation continue valorise l’expertise des professionnels de santé et favorise le développement d’une double compétence : soignant et formateur. Une partie des bénéfices est reversée au service d’origine pour améliorer la qualité de vie au travail. Ce projet du GHT 78 Sud a reçu le Prix de l’Innovation RH (Mention spéciale) en 2025. (RHF N°627, 10/12/2025)

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Analyse du marché de la viande chevaline en France : malgré un déclin continu de sa consommation, cette filière présente des atouts nutritionnels, organoleptiques et environnementaux. L’IFCE, via les travaux de Céline Vial et Xavier Dornier, souligne que des freins culturels et de disponibilité limitent l’adoption par les consommateurs. Néanmoins, un potentiel de développement existe grâce à la promotion du produit, à sa mise en avant en magasin et au restaurant, ainsi qu’à l’information des consommateurs. L’étude 2019-2020 met en lumière les profils de consommateurs et non-consommateurs ainsi que l’intérêt des chefs cuisiniers pour valoriser cette viande. (IFCE, 10/12/2025)

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